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comme cela ; je m’en vais vous dire ; cet air-là m’a toujours tourné la tête, chanté par elle ; voilà pourquoi je l’ai appris. Il chante en femme.
Viens, espoir enchanteur,
Viens consoler mon cœur.
D’un sort plein de douceur,
Peins moi l’image.
M. D’ORBEL.
Il y avoit une tenue, il y avoit une tenue.
M. DE GRAND-PRÉ.
La voici.
Viens…
M. D’ORBEL.
C’est cela même.
M. DE GRAND-PRÉ.
Viens consoler mon cœur,
Viens consoler mon cœur ;
Promets-moi le bonheur
D’enchaîner mon vainqueur,
De fixer son ardeur
Trop volage.
M. D’ORBEL.
Le volage est plus long que cela.