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M. D’ORBEL.
Bravo, bravo !
M. DE GRAND-PRÉ.
Paix donc.
Viens consoler… mon cœur.
M. D’ORBEL.
Il n’y a rien, rien au monde, qui puisse tenir lieu d’une femme comme celle-là.
M. DE GRAND-PRÉ, retombant dans le fauteuil.
Non, non, mes amis, il n’y a rien, rien, ah !
M. D’ORBEL.
Allons, allons, mon cher Grand-Pré, il faut se faire une raison.
M. DE GRAND-PRÉ.
Hé, je serois trop heureux de l’avoir perdu la raison ?
M. D’ORBEL.
Mais si elle en avoit aimé un autre que toi ; ne serois-tu pas encore plus à plaindre ?
M. DE GRAND-PRÉ.
Un autre que moi ! Un autre ! Ah, d’Erviere le sait bien, si elle en a aimé un autre ; il est là pour le dire. Hélas, la pauvre femme !
M. D’ERVIERE.
Allons, allons, ne parlons pas de cela.