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M. VINOT.
Comme moi ? Qu’est-ce que vous voulez dire ?
M. BROSSART.
Que vous me donnez du vin à dix, pour du vin à douze.
M. VINOT.
Cela n’est pas vrai.
M. BROSSART.
C’est très-vrai, mais je ne me fâche pas ; parce que vous n’en avez pas d’autre.
M. VINOT.
Je n’en ai pas d’autre ?
M. BROSSART.
Sûrement ; car votre Garçon me l’a dit.
M. VINOT.
Il vous l’a dit ? Il a tort.
M. BROSSART.
Non ; il a dit ce qu’il savoit.
M. VINOT.
Eh bien ! si vous n’en voulez pas, vous n’avez qu’à le rendre.
M. BROSSART.
Non, je ne vous fais pas de chicanne. Je