Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
nois, superbe, qui termine l’Opéra. Vous voyez bien, Monsieur, que voilà du feu.
M. DELOUREVILLE.
Oui ; mais ce n’est pas là sa place, non plus que celle des combattans : il faut corriger cela, & suivre la marche indiquée.
M. PASTOUREAU.
Monsieur, aidé de vos conseils, je ne demande pas mieux ; mais voyez, du moins, les vers, s’ils sont lyriques.
M. DELOUREVILLE.
Montrez. Avec de la docilité, vous pourrez faire quelque chose ; mais vous n’y êtes pas encore : je vous aiderai, parce que je vous trouve des dispositions. Voyons quelques morceaux.
M. PASTOUREAU.
Voici, si vous voulez, le Monologue de Glaucus, dans le Palais de Neptune.
M. DELOUREVILLE.
A la bonne-heure.
M. PASTOUREAU.
Cruel Destin, suspends ta rigueur !
Charmant Amour, dont je chéris la flamme,
Ne veux-tu régner dans mon cœur,
Que pour troubler mon âme ?