Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
M. DUBOULOIR.
En ce cas-là, Monsieur, vous n’avez pas droit de rien demander.
Le CHEVALIER.
Non, vraiment.
M. DUBOULOIR.
Mais à qui a été le peu qu’il y avoit ?
Le CHEVALIER.
À sa veuve ; car il n’a jamais eu d’enfans.
M. DUBOULOIR.
À sa veuve ? cela devient différent.
Le CHEVALIER.
Oui, Monsieur, d’autant qu’elle est très-avare.
M. DUBOULOIR.
Il y a tout lieu de croire que c’est elle qui retient ce qui devoit vous revenir de votre oncle ?
Le CHEVALIER.
Je le crois comme cela.
M. DUBOULOIR.
Mais son bien, de quelle nature étoit-il ?
Le CHEVALIER.
En très-bonnes terres ; mais tout cela a été vendu, & je crains qu’en l’attaquant, elle ne