Page:Carmontelle - Proverbes dramatiques, Tome 6.djvu/117

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M. ROSSBOCH.

Il avoit grande raison, sur-tout pour avec vous.

LE CHEVALIER.

Je croyois m’appercevoir que vous n’étiez pas content de me voir dans votre Régiment.

M. WASBRUCH.

C’est sûrement un patinage que vous dites-là, Monsieur Cheval Saint-Glair.

LE CHEVALIER.

Non, je vous dis que je le craignois.

M. ROSSBOCH.

Monsieur Baron, il sait bien que nous devons être ami avec vous ; c’est pour cela que nous voulons boire demain avec.

LE CHEVALIER.

Eh pourquoi ne boirions-nous pas aujourd’hui quelque chose en attendant ?

M. WASSBRUCH.

Je suis toujours d’avis pour cela.

LE CHEVALIER.

Je vais demander de la liqueur.

M. ROSSBOCH.

Je vais appeller Pitermann. Pitermann ?