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venir ici pour vous avertir de mettre le verrouil en-dedans.
M. GOURCHON, en colere.
Oui, il a fait là une belle affaire.
M. BROUTE.
Allons doucement, allons doucement.
M. GOURCHON, en colere.
Que le Diable vous emporte avec votre allons doucement. Saint-André, allons, avertis les Jardiniers de rouvrir la porte.
M. BROUTE.
Adieu, mon cher ami.
M. GOURCHON, en colere.
La peste soit de l’homme !
M. BROUTE.
Embrassez-moi donc ?
M. GOURCHON, en colere.
Une autre fois, une autre fois ; voilà mon jardin tout abîmé ! Adélaïde, venez avec moi, & prenez la lumiere. Il sort.