Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
M. DE BELRONDE.
Jaune ?
M. BREMIN.
Oui, je parie que vous n’avez pas pris la derniere médecine que je vous ai ordonné ?
M. DE BELRONDE.
La derniere, non ; mais j’en avois pris trois.
M. BREMIN.
Ce n’étoit pas assez. Voilà comme on se met dans le cas de retomber. Avez-vous dormi cette nuit ?
M. DE BELRONDE.
Oui, j’ai dormi huit heures tout de suite.
M. BREMIN.
Voilà justement ce que je disois.
M. DE BELRONDE.
Comment ?
M. BREMIN.
Les liqueurs s’épaississent, voilà comme une grande maladie commence. Vous étés bien déraisonnable.