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Scène V.
DE BOURCLOS, M. CANON.
M. CANON, bas à la mere Rougeau.
Ecoutez ce que je vais dire (à M. de Bourclos.) Eh, Monsieur, je vous cherche par-tout.
M. DE BOURCLOS.
Pourquoi ?
M. CANON.
Le remede que je vous ai donné a-t-il tempéré votre amour ?
M. DE BOURCLOS.
Hélas, non, au contraire.
M. CANON.
Vous n’avez pas été indifférent pour Mademoiselle Agathe.
M. DE BOURCLOS.
Non, je l’aime plus que jamais.
M. CANON.
C’est singulier cela. Si vous aviez pû vous déterminer à l’épouser, c’étoit le meilleur remede ?