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M. COLLIGER.
Eh non, Monsieur, je vous remercie ; je vais voir moi-même ce que je pourrai devenir.
L’ABBÉ.
Attendez donc.
M. COLLIGER.
Adieu, adieu.
Scène derniere.
L’ABBÉ, De. MONIQUE.
De. MONIQUE.
Pour quoi donc est-il si fort en colere ce Monsieur ?
L’ABBÉ.
Je n’en sais rien. J’admire pourtant ma mémoire ; je l’ai entretenu pendant plus d’une heure, j’ai besoin de boire un coup.
De. MONIQUE.
Allons, venez Monsieur le Chanoine ; mais une autre fois ne parlez pas tant sans boire.
L’ABBÉ.
C’est ce que je ferai, je vous en réponds bien.