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à vouloir me le faire épouser ; cependant je crois que Monsieur d’Alvin est plus riche que lui.
M. DE PRECINAT.
Il n’attend pas d’héritage.
Mlle. DE PRECINAT.
Non ; mais il a un bien assuré, & que personne ne peut lui disputer, vous en conviendrez bien ? Tenez, le voici.
Scène IX.
Mlle. DE PRECINAT, M. D’ALVIN, M. DE PRECINAT.
M. D’ALVIN.
Parbleu, on vient de me dire une singuliere nouvelle, Monsieur de Precinat.
M. DE PRECINAT.
Qu’est-ce que c’est ?
M. D’ALVIN.
Que ce pauvre Berniquet n’aura rien de son oncle, il y a d’autres héritiers plus près que lui.
M. DE PRECINAT.
Cela est vrai.