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Page:Carmontelle - Proverbes dramatiques, Tome 7.djvu/259

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M. DE PRECINAT.

Pas tant que vous le croyez.

M. BERNIQUET.

Eh bien voyons.

M. DE PRECINAT.

Puisque vous voulez le savoir, c’est Monsieur d’Alvin.

M. BERNIQUET.

Ah ! je ne le crains pas.

M. D’ALVIN.

Comment, Monsieur ?…

M. BERNIQUET.

Assurément. On m’a dit que vous étiez son cousin.

M. D’ALVIN.

Il est vrai.

M. BERNIQUET.

Eh bien, je ne croirai ce mariage-là que quand je le verrai.

M. D’ALVIN.

Il ne dépend que de Monsieur de Précinat.

M. BERNIQUET.

Bon ! il ne voudrait pas me faire ce tour-là.

M. DE PRECINAT.

Qui m’en empêcheroit ?