Page:Carmontelle - Proverbes dramatiques, Tome 8.djvu/170

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DUCHESNE.

C’étoit apparemment le desir qu’il en avoit qui le lui faisoit croire.

DU SILLON.

Sûrement ; car Henriette n’est point trompeuse.

M. DE VALBON.

Duchesne, cela ne change rien à mes arrangements, au contraire, oui, je remets une année du bail de ma ferme à Du Sillon.

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Scène derniere.

M. DE VALBON, HENRIETTE, LA BAILLIVE, DUCHESNE, DU SILLON, P. LE NOIR.
P. LE NOIR.

Monsieur Duchesne, Mademoiselle Henriette, je vous prie de me pardonner, si je me suis adressé à Monsieur de Valbon pour le prier de seconder mes desirs.

M. DE VALBON.

Tranquillisez-vous, Pierre le Noir, ils ne vous en voudront point ; puisque Henriette épouse Du Sillon.