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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome I.djvu/142

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Allons venez vous-en boire un coup chez nous, & nous raisonnerons de votre mariage, afin qu’il se fasse au plutôt.

Vincent.

Je vous demanderai aussi Robin, la Mere, puisque c’est à lui que je dois mon bonheur.

La Mere Durand.

Tu m’en donneras donc un autre ?

Vincent.

Oui, oui, ne vous embarrassez pas, il sera même plus beau.

La Mere Durand.

Pourvu qu’il soit aussi bon, c’est tout ce que je veux.

Vincent.

Ah, Thérèse, quelle joie !

Thérèse.

Nous ne nous croyions pas si près d’être heureux.

FIN.