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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome I.djvu/245

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La Bergere.

Que les Merluches,
Que les Péruches,
Fendent les airs, fendent les eaux,
Pour accourir sur ces côteaux.

Que nos chants se confondent,
Que tous les échos nous répondent.

Que les Merluches,
Que les Péruches,
Fendent les airs, fendent les eaux,
Pour accourir sur ces côteaux.

Et puis le Chœur reprend.

Hurlons,
Chantons,
Chantons,
Hurlons,
Le prodige,
Le prestige
Que nous voyons.

La Comtesse.

Voilà comme on peint la joie, l’étonnement, le ravissement, l’empressement !…

M. Charmé.

Ah, Madame, arrêtez, vous faites une Arriette sans y songer.