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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome I.djvu/284

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La Baronne.

Et vous direz, après cela, que vous m’aimez.

Le Chevalier.

Vous ne savez pas les raisons qui me retenoient chez le Vicomte.

La Baronne.

C’est sans doute quelque femme que vous trouvez charmante.

Le Chevalier.

Vous savez que rien au monde ne peut m’intéresser autant que vous.

La Baronne.

Voilà ce que je ne crois pas.

Le Chevalier.

Fort bien, vous assez être injuste à-présent.

La Baronne.

Et puis vous arrivez-là au milieu des visites de campagne, d’un air triomphant.

Le Chevalier.

Je vous croyois seule, vous ne vous tenez jamais dans ce salon-là.

La Baronne.

Non, parce que nous avons besoin de ce-