Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome I.djvu/29

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La Mere Gourdon.

Oh, que non ; j’ons mon fils qui les garde.

Mlle. de Villedour.

Votre fils ; il est donc Berger ?

La Mere Gourdon.

Eh, vraiment oui.

Mlle. de Villedour.

Ah, je voudrois bien le voir, j’aime beaucoup les Bergers.

La Mere Gourdon.

Eh, pardi vous le varrez ; je m’en vais l’appeller. Eh, Gille Gourdon ?


Scène IV

Mlle. DE VILLEDOUR, LA MERE GOURDON, JAQUOT, dormant, GILLE GOURDON, sans paroître.
Gille Gourdon.

Quoique vous voulez, ma mere ?

La Mere Gourdon.

Eh, viens ici, fieux, vela une belle Demoiselle qui veut te voir.