Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome I.djvu/339

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Le Marquis.

Ce n’est point une erreur.

La Marquise.

Je suis trop touchée du tourment que vous éprouvez, pour ne pas le faire cesser promptement, écoutez-moi.


Scène dernière.

LA MARQUISE, LE MARQUIS, LA BARONNE, LE COMTE, LE CHEVALIER, UN COURIER.
Le Courier.

Monsieur le Marquis d’Oran ?

Le Chevalier.

Le voici.

Le Courier.

Monsieur, on m’a chargé de vous remettre cette lettre qui est très-pressée. Il n’y a point de réponse, & je repars. Il sort.

La Marquise.

Marquis, lisez donc.