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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome I.djvu/63

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Jaquot.

Ah, Monsieur le Marquis, voilà Monsieur l’Abbé défendez-moi.

Le Vicomte de Grandcour.

Jaquot, vous avez suivi votre Maître & vous avez très-bien fait, l’Abbé ne vous grondera seulement pas.

La Comtesse de Griseville.

Ils sont tous délicieux ! divins ! jusqu’au petit Jaquot. Ma Fille embrasse-moi aussi. Elle embrasse sa Fille.

Le Marquis de Saint-Arnoud.

Quoi, mon Grand-papa, il est bien vrai que c’est-là Monsieur l’Abbé Réda ?

La Comtesse de Griseville.

Pourquoi donc pas ?

Le Marquis de Saint-Arnoud.

Et que ce n’est pas l’Enchanteur qui persécute la Princesse ?

Le Vicomte de Grandcour.

Mon Petit-fils, la Princesse est Mademoiselle de Villedour, la Petite-fille de Madame la Comtesse de Griseville ; dans tout ceci il n’y a point d’enchantement, les enchantemens sont fabuleux ; mais la valeur & la vertu sont un