Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome II.djvu/83

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pour me faire damner aujourd’hui ! si vous aviez tenu le pied de l’échelle.

Lavallée.

Je le tenois aussi, Monsieur, il m’avoit dit qu’il avoit fini, qu’il descendoit, & il a voulu donner encore un coup.

M. d’Arny.

Qu’il ne remette jamais le pied ici.

Lavallée.

Ce n’est pas sa faute.

M. d’Arny.

Allons, excusez-le encore. Ils prennent toujours le parti des ouvriers.

Lavallée.

Non, Monsieur, je disois seulement.

M. d’Arny.

Taisez-vous.

Lavallée.

Voilà le Tailleur.

M. d’Arny.

Une glace superbe !