Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome II.djvu/89

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M. d’Arny.

Parbleu ; c’est bien ma faute, je devois m’y attendre, elle n’en fait jamais d’autres. Voyez si son cocher est revenu ?

Lavallée.

Oh, Monsieur, un jour de forge, ils ne peuvent plus rien faire.

M. d’Arny.

Elle ne reviendra pas. Ayez-moi un carrosse de remise.

Lavallée.

Avant qu’il soit ici il faudra plus d’une heure.

M. d’Arny.

Non, je crois que tout, aujourd’hui, est déchaîné contre moi ; c’est ce chien de Tailleur, ce diable de Serrurier… Ayez-moi un fiacre.

Lavallée.

Si Monsieur avoit un moment de patience seulement.