Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/56

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tout cela, & elle en sera absolument la maîtresse.

Julie.

C’est à vous, Monsieur, à vous efforcer de plaire.

M. de Ponbleu.

Je compte plus sur les secours de ma Niéce que sur moi ; une amie persuade & peut attendrir en faveur d’un Amant ; c’est ce que je vous demande.

Mlle de Rémieres.

Vous pouvez être assuré que j’emploirai tous les ressorts de l’amitié la plus tendre pour réussir dans cette circonstance.

Julie.

Voici Mademoiselle de Gerland, je suis d’avis que vous la laissiez avec Mademoiselle, afin qu’elle puisse la disposer favorablement.

Lahaye.

Je pense comme cette belle enfant.