Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/70

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mais c’est vous-même qui êtes la cause du stratagême dont nous avons usé.

M. de Ponbleu.

Il est vrai, & je ne saurois me plaindre de ce que ma Niéce vous aime ; puisque j’y ai été pris moi-même. Je vous pardonne tout ; mais je veux savoir qui est Monsieur le Commandeur.

Lahaye, découvrant son œil.

Monsieur, c’est Lahaye, qui est votre très-humble serviteur.

M. de Ponbleu.

Tu m’as bien l’air d’avoir été d’accord avec Julie. Mon cher Balaudier, si vous n’avez point de rancune, assez chercher vos danseurs. Quand à mon âge on s’avise d’aimer, on est bienheureux de n’être pas trompé autrement.

FIN.