Aller au contenu

Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome IV.djvu/393

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

M. L’Écoutant à M. Suivant.

Cela va bien.

M. Duchemin.

C’est à quoi j’ai rêvé.

M. de la Riviere.

Il n’y a que le poison, ou le poignard.

M. Suivant à M. l’Écoutant.

Je vais chercher Monsieur Griffart.


Scène IV.

M. DUCHEMIN, M. DE LA RIVIERE, M. L’ÉCOUTANT.
M. Duchemin.

Le poison rend cela toujours languissant.

M. de la Riviere.

Il est vrai qu’un empoisonné a le tems de parler, & qu’il faut même qu’il parle.

M. Duchemin.

C’est ce que je disois.

M. de la Riviere.

D’un autre côté, le poignard est bien brusque.