Page:Carnet de guerre d'Albert Labbé.pdf/18

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des mitraillieuses et des obus un général nous fait déployer sur une crête ; ne voulant pas tirer devant nous ; puisque nos camarades arrivent ; j’ai laisser mon sac comme tout le monde pour reprendre la course ; le soir arrive, voyant le feu aux villages, et se trouvant dans un fer à cheval j’ai grimpé sur un caisson du 41e d’artillerie avec Adrien ; qui nous conduit a Rosée, là je rencontre Grand’homme, on se repose 2 heures dans une grange ; où des réfugiés belges nous ont fait place. Ensuite on se dirige sur Givet ; on nous signale des Hulans dans les