Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/132

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pour lui plaire. Brabant en avait beaucoup appris de madame Durancy ; mais notre imagination nous fournit encore mille cérémonies nouvelles et charmantes. Mais, de toutes les positions que nous inventâmes, il n’en est aucune qui nous fit autant de plaisir que celle-ci : nue, j’étais à genoux sur un coussin, la tête baissée sur un autre coussin de même placé sur le parquet, de sorte que mon cul était exhaussé. Brabant, également à genoux sur un coussin derrière ce cul, avait la fente du bonheur à la hauteur de son bijou ; il s’appuie contre mes fesses et m’enconne, et, pendant ce temps, il passe sa main le long de ma hanche, la coule à mon bas-ventre et son doigt est à mon clitoris, tandis que le grand doigt de son autre main est dans le trou de mon cul, et touche