Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/143

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semble être toujours à ton premier coup… oup… oup… tu m’inondes… Ah ! divin St.-Far, tu es… invincible, et je crains bien d’être vaincue… Eh bien ! donnes-moi donc le macaron et le petit verre… Bien ; mais, où en étais-je ? — Tu en étais après dîner.


FIN DU TOME PREMIER.