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CAROLINE

OU

MES FOUTERIES.




Après un dîner que l’amour et la délicatesse semblaient avoir préparé par les mains de De Varennes, j’étais remontée à ma chambre ; de Varennes m’y suivit. Mon adorable, me dit-il, en m’embrassant, c’est ce soir que nous cimenterons notre union ; je vais de ce pas chez mon notaire pour t’assurer mille écus de rente et ce sera le présent de la nuit. Tu as vu cette maison de campagne où tu es venue, et que tu m’as dit te plaire, elle sera à toi :

  TOME II.
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