Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/25

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APPROBATION.


L’AUTEUR A L’ÉDITEUR.



J’ai lu votre Dédicace et votre avis au peuple fouteur ; je n’ai rien à vous dire sur l’avis ; mais pour répondre à la Dédicace, je vous dirai que votre conscience soit tranquille, ma modestie vous pardonne l’impression, ma bonté oublie le larcin. Et quant à votre colère contre ce prétendu laquais, je vous en punirais, si ce que je vais vous dire ne me vengeait pas assez. Sachez donc que cet amant favorisé,