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Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/30

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la blancheur de mon cul et la beauté de mon con. — C’est ce que nous allons voir : je te suis. — Viens par ici, prends garde à la rampe… Ce n’est pas haut ; c’est au deuxième : nous y voici… donnes-moi la main… Entre… Minette, de la lumière et des sièges… C’est bien ; je te sonnerai quand j’aurai besoin de toi. — Elle est ma foi charmante. — Allons, viens t’asseoir sur le canapé… Oh !… petit libertin… ah !… tu es trop pressé… allons, mon ami, fais-moi ton petit cadeau. — Ma belle, à ton tour, tu es bien pressée ! Auparavant, consultons ma bourse… ; allons, voilà un louis, si tu me plais… Mais ma foi, plus je te considère, plus je te trouve de ressemblance avec la plus adorable personne… que j’ai eue un jour bien singulièrement. — Et que m’importe ta