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Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/39

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de délices… tu m’inonde d’un foutre brûlant qui m’enflamme… — Ah ! tu réponds à mes coups… je sens ton foutre qui vient de se mêler avec le mien, serre-moi dans cette ivresse !… — Avance !… — J’enfonce !… — Tu vas m’atteindre le cœur ! — Je voudrais que tout mon être pût se placer dans ton con. Ah ! que ne suis-je tout foutre ! — Et moi, que ne suis-je tout vit ! — Ah ! pour que je respire enfin, retire-toi, St.-Far. — Non, je veux y mourir. — Songes que nous avons la nuit à nous, car tu me la donne, n’est-ce pas ? — Comment ; c’est moi qui t’en conjure. — C’est entendu : sonne Minette…

Minette, de l’eau tiède et du linge. — Oui madame ; je reviens à l’instant. — Vois, St.-Far, comme tu m’as… tu m’as… sais-tu bien que tu vaux