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Page:Casgrain - Légendes canadiennes, 1861.djvu/253

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II


Cependant le frêle esquif, poussé par deux vigoureux avirons, descendait le fleuve avec rapidité.

Léger comme une écume, il glissait sans bruit sur les flots, laissant à peine un pâle sillage derrière sa proue.