qui découvrant seulement son cul à un
jeune Ganymède le ferait décharger jusqu’au
sang, n’opérerait qu’une sensation
ordinaire à l’égard d’un autre ; tandis
qu’un tortillement de fesses voluptueusement
fait, plongerait l’homme à tempérament
dans un torrent de délices, qui
causerait la mort au Narcisse fouteur et
au paillard décrépit.
À quels signes caractéristiques distingue-t-on une putain de celle qui ne l’est pas ?
Son habillement trop peu gazé, son maintien trop peu retenu, ses gestes libres, sa conversation trop enjouée et trop lascive, son regard décidé et sa marche effrontée sont les signes visibles qui la font reconnaître. Il est cependant nécessaire pour son propre intérêt qu’elle en agisse ainsi ; car il est des hommes si timides auprès des femmes, que si une putain tranchait avec eux de l’Honesta, ces hommes, qu’on peut comparer à des