quefois un certain délice à flageller un beau
cul qu’elle tient en posture, et qui ne peut
éviter la grêle des coups qu’on lui applique,
que quoiqu’elle décharge souvent
en s’acquittant de cette fonction joyeuse,
cependant il est de ces paillards capables
de fatiguer le bras de la putain la plus
vigoureuse et même la plus passionnée
pour ce genre de plaisir ; elle peut donc,
alors, et elle a le droit d’exiger de
l’homme qu’elle sangle, un salaire durèrent,
et se faire payer des balais employés
à cette cérémonie tragi-comique.
Quel langage doit tenir une putain en fouettant ?
Sa conversation doit être conforme au caractère et à l’humeur du paillard qu’elle fustige : il est de ces bougres-là qui veulent qu’on jure après leur cul comme après un cheval de brancard, qu’on les traite de jean-foutre, de maquereaux, et qu’on assaisonne ces épithètes d’une dégelée de coups de verges des mieux