une pine bien encrée, et de la renconner
aussitôt ; suggérez-moi les discours les
plus libertins, les postures les plus voluptueuses,
les attouchements les plus
licentieux, afin que les hommes trouvent
dans moi toutes les ressources et
le raffinement des plaisirs de la chair et
du cul, et viennent de préférence me donner
leurs pines ; et qu’après avoir bien fait
mon truc avec mon con et mon cul, je me
repose tranquillement, et n’aie plus d’autre
occupation, d’autres jouissances que
celle de contempler toutes les parties de
notre beau corps, et lire les actions de
fouterie qui vous ont valu le titre glorieux
de protecteur et consolateur des garces ;
et que hie trouvant un jour réunie près
de vous, je décharge paisiblement sous
vos yeux pendant la durée des siècles.
Ainsi soit-il.