reste qu’un petit fragment, entre ceux numérotés 122 et 123.370 sur 272 millim. Rel. bois, très postérieure au manuscrit, recouverte de parchemin. Dos en veau.
265 (161). « Conclaves pour l’élection des papes » (1605-1655). Relations en italien des élections de Léon XI (fol. 41), Paul V (fol. 95), Grégoire XV (fol. 139), Urbain VIII (fol. 193), Innocent X (fol. 286) ; et, en français, de l’élection d’Alexandre Vil (fol. 340). Le récit italien ressemble exactement, en nombre d’endroits et surtout au début, à celui de l’ « Histoire des conclaves, depuis Clément 1/ jusqu’à présent » (par Vancl), publiée à Paris en 1689, in-4o, conclaves XXVI et suivants. — Commencement du manuscrit : « Leone XI. Fra il cardinal Aldobrandino, uscito di Roma nell’ ultimo di gennaro 1605 con assai speciosi titoli di revcdere et ordinare lo stato ecclesiastico... » —Fin du conclave d’innocent X (fol. 339) : « ...poiche si spcra un ottimo pontificato per il buon principio chi senc vede di liavere una perpétua pace tanto in Italia quanto nclla christianita tutta. » — Le récit en français de l’élection d’Alexandre VII (1655) est d’un témoin oculaire. Commencement : a II est bien difficile d’examiner un conclave dans toutes ses particularités, cette sorte d’affaire se conduisant plus par esprit d’intrigue que par une pratique manifeste et cognuc. » — Fin : « ... c’est ce qui l’obligera de correspondre à ces acclamations publiques par scs soings et sa pieté. »
Les 39 premiers feuillets sont occupés par autant de portraits, datés de 1623 à 1657, représentant le pape Alexandre Vil et 38 cardinaux, tous, sauf le second, gravés par G. Valet ou Jh Testana, publiés par « Jo.-Jacobus de Rubeis Forinis » (Gio.-Giacomo Rossi), à Rome. — Fol. 40 v°. Table des conclaves contenus dans ce volume. XVIIe siècle. Papier. 442 feuillets, chiffrés 40-441. 330 sur 225 millim. Rel. veau. — (Bibliothèque de La Chalotais.)
266 (169). « La légende des sains, qui est dicte Légende dorée », traduite en français, d’après Jacques de Voraginc, par Frère Jehan du Vignay, de l’Ordre des religieux hospitaliers de Saint-Jacques du Haut-Pas.
Commencement du prologue : « Monseigneur saint Jerome dist ceste auctorité : Fay tuusjours aucune chose de bien, que le dyablc ne te truisse oyseux... * Le traducteur explique plus bas comment il a entre¬