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Page:Catherine-pozzi-agnes-1927.djvu/41

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loin que mes yeux. En définitive, ils me faisaient toujours calculer une faillite : une énergie perdue, une force amortie, une dissipation, une extinction, une chute, un adieu… Ô mon vieux, ce principe de CARNOT, des derniers chapitres, cette loi qu’ils ont gardée en réserve comme un cadeau, dont la formule s’applique à tout pour qu’on calcule que tout doit diminuer et de moins en moins paraître, tomber, et de plus en plus descendre ! je n’y croyais pas.

Je voulais qu’il existât un bel univers où les choses ne fussent pas tirées par le mauvais sort perpétuellement en bas, plus bas. Eh bien, il existe. C’est l’univers de la collection Toutatous. Mon professeur peine à me rappeler en arrière parce que ce n’est pas dans mon programme, mais j’y vais.

Peut-être que vous vous cachez par là…