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Page:Cauchy - Œuvres complètes, 1882, Série 2, Tome 3.djvu/230

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plus, comme le premier facteur

ne peut devenir nul pour

tant que les valeurs particulières

sont distinctes l’une de l’autre, il est clair qu’en attribuant à la seconde de ces deux valeurs, on devra réduire à zéro la fonction entière et, par suite, que cette fonction entière sera divisible algébriquement par

On aura donc

désignant une nouvelle fonction imaginaire et entière de la variable en sorte que l’équation (2) pourra se mettre sous la forme

(3)

En raisonnant comme on vient de le faire, on trouvera : 1o que, la fonction devant s’évanouir en vertu de la supposition

cette supposition réduit nécessairement à zéro le second membre de l’équation (3), et, par conséquent, l’un de ses trois facteurs ; 2o que le facteur réduit à zéro ne peut être que la fonction entière tant que les trois valeurs particulières de désignées par

sont distinctes l’une de l’autre ; 3o que la fonction entière devant s’évanouir pour