avec une matière inextensible dont la densité serait équivalente à la densité naturelle du corps. Alors, en supposant la hauteur du second cylindre tellement choisie que celle du premier cylindre se trouvât doublée en raison de la dilatation produite par le poids du second, on pourrait prendre le poids dont il s’agit pour mesure de la pression totale exercée contre la base du premier cylindre, et, en divisant ce même poids par la surface de la base, on obtiendrait la pression en chaque point, et, par conséquent, la valeur de la constante D’ailleurs, si l’on désigne par la densité naturelle du corps, par la surface de l’une des bases dans l’un des cylindres, et par la force accélératrice de la pesanteur, le poids du second cylindre sera
et, en divisant ce poids par on trouvera
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Concevons à présent que l’on considère la loi de proportionnalité des tensions aux dilatations comme uniquement applicable aux cas où les dilatations sont très petites. Alors, pour déterminer la constante à l’aide de l’expérience indiquée, on devra disposer de la hauteur du second cylindre de manière à produire seulement dans celle du premier une dilatation représentée par une très petite fraction, par exemple, une dilatation de Mais alors aussi, pour obtenir la quantité on devra multiplier par par par la hauteur du second cylindre. On pourrait, d’ailleurs, remplacer le second cylindre par un poids quelconque et, si ce poids produisait dans la hauteur du premier cylindre une dilatation mesurée par la fraction on aurait, pour déterminer la quantité l’équation suivante
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Enfin, au lieu de fixer la base supérieure du premier cylindre et de