Page:Caumont - Les Fées contes des contes.pdf/70

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ne fut comparable à la felicité dans laquelle il vécût avec ſa parfaite épouſe.


  Tendres époux apprenez par ceux-cy,
  Qu’il eſt avantageux d’être toûjours fideles,
  Les peines, les travaux, le plus cuiſant ſoucy,
      Tout enfin ſe trouve adoucy,
    Quand les ardeurs ſont mutuelles :
  On brave la fortune, on ſurmonte le ſort,
      Tant que deux Epoux ſont d’accord.