avait répondu ; cela donnait lieu aux équivoques les plus bizarres et aux quiproquo les plus divertissants.
Enfin le jeu du roman. La manière de jouer ce jeu était de choisir un sujet historique sur lequel on composait un roman en commun, c’est-à-dire que chacun y contribuait pour sa part, se trouvant obligé de reprendre le récit là où l’avait laissé celui qui l’interpellait.
Il est inutile de dire que c’est le jeu sur lequel Mlle de la Force s’étend davantage, elle se retrouvait sur son terrain. Le sujet du roman est emprunté au règne de Philippe-Auguste. Naturellement, les narrateurs parlent un peu trop comme les hôtes du château d’Eu ; quant à la fidélité des faits historiques, nous renvoyons nos lecteurs à la préface de Mlle de la Force.