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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 2.pdf/382

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INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE

372 INVENTAIRE DE LA CORRESPONDANCE Paris, 6 septembre. A Auguste Brizeux. C’est donc vous qui êtes venu me voir, bien cher ami ? Et vous savez… (P. p. 369). (Paris), 11 septembre. A Pauline Duchambge. Et toi, ma chère Pauline ? Et toi ? Comment es-tu ? Est-ce l’orage qui a fait… (aut. Douai ; Boy. II p. 321 ; R. II p. 266). (Paris), 20 octobre. A Pauline Duchambge. Ta chère visite et ta chère lettre auraient dû me porter bonheur… (aut. Douai ; Boy. II p. 322 ; R. II p. 267). (Paris), 3 décembre. A Pauline Duchambge. Que tu as une adorable bonté ! m’écrire sans que je puisse te répondre… (aut. Douai ; Boy. II p. 322 ; R. II 269 ; P. p. 371). (Paris), 21 décembre. A Pauline Duchambge. Je ne t’écris qu’avec de l’âme. J’amasse bien des inquiétudes sur toi… (aut. Douai ; Boy. II p. 323 ; R. II p. 270 ; L. p. 310). (Paris), 28 décembre. A Pauline Duchambge. Ma plus chérie ! Ton écriture seule puissance extérieure, est venue luire… (aut. Douai ; Boy. II p. 324 ; R. II p. 272 ; Sainte-Beuve, 70). (sans date). A Pauline Duchambge. Ne pouvoir t’écrire ! te donner du chagrin… et n’oser te dire même… (aut. Douai : lettre datée par une autre main 1858 ; Boy. II p. 323 ; R. II p. 271). (sans date). A la marquise de Sainte-Luce. Madame, voulez-vous recevoir le salut reconnaissant de mon mari ? (aut. Douai).