Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
zarre, d’un rêve sans doute maladif, qui les torture, mais qui leur ment.
Au milieu de l’infini tranquille, sous la paix qui tombe des étoiles, nos meurtres, nos crimes, nos hontes ! — Cela me rappelle, en je ne sais quel drame, une situation terrible, qu’accompagnait un air de flûte.
Dieu du ciel, ne souffres-tu pas de voir toujours l’homme traverser ton rêve ?
Si nous étions tes fils, pourquoi condamnerais-tu des dieux aux humilia-