Page:Châteaubriant, Alphonse de - Monsieur des Lourdines, 1912.djvu/235

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passé des nuits… il avait comblé ses maîtresses… l’argent avait fondu !… il ne savait plus !

Et maintenant, il lui faudrait vivre au Petit-Fougeray, près de son père ! Et les autres, là-bas, diraient : « Tu sais bien, des Lourdines ? Eh bien,… il est rasé ! »

Mais non !… Cela ne se pouvait pas !… C’était là une chose aussi impossible que d’aller réveiller sa mère dans son cercueil !

Et il gémissait : « Mon Dieu !… Oh !… mon Dieu ! »

De l’autre côté de la cloison, M. des Lourdines écoutait.

« Il se plaint, s’inquiétait-il, il se plaint !… le pauvre petit bougre ! »