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Page:Châteaubriant, Alphonse de - Monsieur des Lourdines, 1912.djvu/301

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autre allée ; ils s’en allaient côte à côte, tout doucement. S’il ne les eût pas connus, il n’aurait su dire lequel des deux était le plus vieux. Et, tirant de son côté, nonchalant entre ses sacs, il les regardait s’éloigner, devenir tout petits, là-bas, dans la forêt…