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ensemble toutes les pièces de ce nouveau recueil ; comme vous m’avez prêté l’appui de vos conseils sévères, & que vous-même avez mis la main à certains endroits en souffrance, vous me permettrez bien, rare ami, de vous dédier cette édition à laquelle vous avez pris une telle part, & qui d’ailleurs n’eût probablement jamais existé sans vous.
J’espère que tôt ou tard on nous saura gré de nos efforts communs.
Auguste de Chatillon.