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Page:Chênedollé - Œuvres complètes, 1864.djvu/261

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ÉTUDES POÉTIQUES.


Seul, dans ce grand désert, le Tibre aux eaux divines,
Dont le cours arrosait L’ÉTERNELLE CITÉ,
Lorsque Rome n’est plus qu’un amas de ruines,
Pour pleurer ses débris, seul le Tibre est resté.