Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 1.djvu/121

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Il n’y a pas qu’Orphée pour avoir perdu la tête, et ce pauvre M. Moreau donc ! Espérons qu’on la lui retrouvera aussi.

— Polisson ! tu as enlevé tous les numéros des tableaux.

— Maman, je savais pas ! J’ai cru que c’était des timbres-postes. J’en fais collection.

M. RIBOT.

Le Christ et les docteurs. Où sont les docteurs ? Je ne vois que des malades et des incurables encore. Voyez plutôt leurs pieds.

Les gardiens eux-mêmes s’en faisant mourir dans la salle des Lambron.