Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 3.djvu/215

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— Il ne nous attaque donc pas le betit Vrançais ?

— Mais non, j’attends que vous soyez quatre ou cinq.

— Brave sentinelle autrichienne, permettez à un humble zouave de se jeter à vos augustes pieds.

Chacun travaille à sa manière, c’est une affaire de tempérament.

— Fais pas attention, mon bonhomme, t’es pas le premier que j’arrange comme ça !