Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 3.djvu/219

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— Faut m’obéir ! je suis ton supérieur !

— Je suis un tourlourou français et tu n’es qu’un major autrichien !

— C’est pas de votre faute que nous soyons vos vainqueurs, on ne change pas comme ça de vieilles habitudes.

— Attrape, mon garçon ! Voilà Cocotte qui commence à connaître son monde !

— Allons, voyons, mon chéri de Russe, dites quelque chose d’aimable à votre excellent ami l’Autrichien.

— Bono Francese ! Bono Francese !

— Ah ! bigre !